D’art et d’estime

Chronique par Isabelle Rodriguez

Sommaire

« Nous sommes le seul pavillon européen ! », pouvait clamer avec fierté la conservatrice et commissaire d’exposition Timea Junhaus à propos du pavillon « Paradis perdu » installé dans les murs du Palais Pisani en 2007, lors de la 52ème Biennale de Venise. Le pavillon présentait en effet des œuvres d’artistes Roms venus des quatre coins de l’Europe, et de nationalités différentes. Il s’agissait d’une première au sein de cette manifestation internationale, surtout en terme de visibilité donnée aux artistes issus de cette culture.

Car si les Roms sont la plus grande minorité d’Europe, entre 11 et 12 millions d’individus repartis aux quatre coins du continent, leur art et leur culture restent très largement méconnus du grand public, leurs œuvres n’étant qu’exceptionnellement exposées dans les musées nationaux. Cette absence de représentation dans la sphère culturelle contribue à nourrir les…

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