Switch (on Paper) Revue d’art et de société
Hommage à Jean Dupuy
Hommage à Jean Dupuy
Jean Dupuy a quitté ce monde le 4 avril dernier. Mort des suites de la covid. Alors qu’il avait 95 ans et vécu mille vies avec un bonheur inouï. Sa disparition a profondément touché toutes celles et ceux qui l’ont connu. Et dieu sait s’il en a connu du monde durant toutes ces années. Peut-être le croyait-on immortel avec son éternelle jeunesse, cette fraîcheur qui le caractérisait tant malgré le grand âge. A force de nous saluer d’un « On ne se perd pas de vue » à chaque fois que nous le quittions, nous pensions en effet ne jamais le perdre.
Manifesto
Et si les artistes réveillaient
notre esprit critique ?
Que retient-on de la masse d’information que l’on reçoit chaque jour ? Une part infime, sans doute la plus spectaculaire. Avec Switch (on Paper), nous avons rêvé d’une nouvelle expérience média, fondée sur une information de qualité, patiente, exigeante et diversifiée, capable d’offrir une lecture plus riche de l’actualité du monde par un prisme inattendu : celui des artistes.
Éclaireur·se·s, lanceur·se·s d’alerte, activistes ou esprits libres, inventeur·trice·s et visionnaires, les artistes témoignent à leur façon, souvent ouvertement critique, de notre époque. Pour l’appréhender, nous mettons à contribution universitaires, scientifiques, journalistes et bien sûr artistes pour produire des enquêtes et analyses qui documentent l’air du temps par l’art d’aujourd’hui.
Vous pouvez nous aider à faire grandir ce projet éditorial, rémunérer nos auteur·trice·s, stimuler les idées et la réflexion. Abonnez-vous, faites un don défiscalisé à la revue et rejoignez l’expérience d’un nouveau média où l’art inspire le changement… Lire plus
L’atelier-monde et les phénomes. Ghédalia Tazartès [1947-2021]
Chanteur, musicien et sculpteur emporté par une météorite.
Ghédalia est un mythe familier que l’on se permet d’appeler par son prénom. Celui, adopté, qu’il a choisi de porter, par tradition, en mémoire d’un grand-père, faisant un bras d’honneur à l’état civil qui lui imposait la banalité d’un “Gérard”.
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